Carte bancaire : seriez-vous prêt à vous faire implanter une puce pour régler vos achats ?
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La société anglaise Walletmor propose à ses clients de se faire installer une puce sous la peau régler leurs achats par carte bancaire, explique Actu.fr. 500 personnes se sont laissées séduire par ce nouveau mode d’achat en Europe. Et vous, seriez-vous prêts à vous faire implanter une puce pour payer vos courses ?
L’homme augmenté du futur n’a jamais été aussi proche. Actu.fr raconte qu’un informaticien de 31 ans installé à Brest, dans le Finistère, s’est fait implanter une puce sous la peau pour régler ses achats, en décembre 2022. C’est une technologie proposée par la société anglaise Walletmor et qui a déjà séduit 500 personnes en Europe, précise le média dans son reportage du vendredi 28 mars. Et vous, seriez-vous prêt à sauter le pas et à vous faire implanter une puce dans le corps pour régler vos achats ?
Cette puce, inventée par la société anglaise Walletmor et commercialisée en France depuis trois ans, permet de régler ses achats sans contact, sans avoir besoin d'utiliser sa carte bancaire ni son téléphone portable. "C'est une expérience d'humain augmenté", plaisante Fabien auprès de nos confrères.
"Je ne mets pas ma vie en danger" assure Fabien
L'appareil, mesurant près de trois centimètres de longueur et pesant un gramme, a été implanté au dos de sa main gauche. "C'est une petite incision, j'ai eu un point de suture", affirme le Breton. À l'époque, Fabien a déboursé la somme de 120 euros pour s'offrir cette puce, vendue aujourd'hui à 499 euros. L'informaticien devra se la faire enlever dans neuf ans, à l'issue de la validité de celle-ci. Cet implant est-il dangereux pour la santé ? "Il n'y a pas d'impact. Je ne mets pas ma vie en danger", assure le Brestois à Actu.fr. S'appuyant sur la même technologie que celle utilisée pour le paiement sans contact, la petite puce ne permet pas de régler des achats de plus de 50 euros. Pour ces sommes-là, Fabien doit encore se contenter des moyens de paiement plus classiques... avant peut-être une autre innovation dans les prochaines années.
publié le 4 avril à 07h00, Capucine Trollion et Cédric Alexis, 6Medias
