Pendant qu’Emmanuel Macron prononçait ses vœux aux armées, les secours interviennent pour des malaises
En déplacement à Cherbourg-en-Cotentin (Manche) vendredi 19 janvier pour transmettre ses vœux aux armées, Emmanuel Macron a dû interrompre son discours pour permettre aux secours de venir en aide à deux militaires, rapporte le HuffPost.
Une déclaration renversante. Alors qu’il était en train d’effectuer un discours face aux militaires pour leur énumérer à quel point l’année 2024 était une "année de fierté avec l’accueil des Jeux olympiques et paralympiques à Paris, Marseille, en Polynésie", Emmanuel Macron a du composer avec deux malaises. Plus précisément, détaille le HuffPost, alors qu’il évoquait le rôle des militaires durant l’événement sportif mondial, une jeune femme s’est mise à tituber malgré le soutien d’une de ses collègues gendarme, nécessitant l’intervention des secours et une brève coupure dans le discours du chef de l’État.
Une année de "résolution, de détermination et de fierté"
"Je vous rassure, c’est un malaise vagal. Cela ne devrait pas être grave", a expliqué Emmanuel Macron quelques instants plus tard. Et d’ajouter : "Je disais l’importance de la mission Sentinelle, je ne pense pas que ce soit les causes de ce malaise." Quelques minutes plus tard, une quinzaine environ, c’est une seconde jeune femme qui a subi le même sort. Visiblement victime d’un malaise dans le champ de la caméra, elle a également été prise en charge par les secours. La scène a été filmée par les caméras présentes.
Le président de la République a terminé son discours en souhaitant une année de "résolution, de détermination et de fierté" aux armées. Arrivé dans la matinée du 19 janvier pour cette tradition annuelle, Emmanuel Macron et le ministre des Armées Sébastien Lecornu qui l'accompagnait ont visité les Constructions mécaniques de Normandie (CMN) à Cherbourg-en-Cotentin. Par la suite, le chef de l'État et son ministre ont pu participer à la levée des couleurs avec des jeunes du département, avant de prononcer son discours depuis la base navale.
publié le 20 janvier à 06h55, Nathan Hallegot, 6Medias
