France

Après avoir esquivé l'accolade d’Emmanuel Macron, Catherine Ringer réagit à la polémique

Au micro d’Europe 1, Catherine Ringer revient sur la séquence, qui fait le tour du Web, où elle esquive une accolade d’Emmanuel Macron, lors de la cérémonie de scellement de l’IVG dans la Constitution, vendredi 8 mars.

“Ce n'est pas mon pote non plus.” Catherine Ringer a tenu à mettre les points sur les “i” après qu’elle a esquivé l’accolade d’Emmanuel Macron lors de la cérémonie de scellement de l’IVG dans la Constitution, vendredi 8 mars. La séquence a fait le tour du Web. Tantôt applaudie par les internautes pour avoir remis à sa place un Président “trop tactile”, tantôt blâmée d’avoir mis un vent au chef de l’État, dimanche 10 mars, la chanteuse a donné sa version des faits au micro d’Europe 1.

Un moment solennel

“Je ne lui ai pas du tout mis de vent. […] Il est venu me faire un baisemain, j'ai essayé de lui en faire un, il n'a pas voulu. Après, il m'a dit : 'On se fait la bise ?' Et là, non, j'ai trouvé que c'était trop familier, donc je suis partie en rigolant, je crois qu'il souriait aussi”, a justifié Catherine Ringer dans l’émission de Julie Vignali, en ajoutant qu’elle trouvait “que ce n'était pas le moment”. “Je ne voulais pas faire une bise là, comme ça, alors que c'était un moment plutôt solennel.”

La star du groupe de rock Les Rita Mitsouko avait été invitée par Emmanuel Macron pour interpréter l’hymne national, place Vendôme, lors de la cérémonie du 8 mars à l'issue de laquelle la liberté des femmes à recourir à l’interruption volontaire de grossesse a été inscrite dans la Constitution. Elle a également fait réagir pour avoir féminisé certaines phrases de La Marseillaise, chantée lors de la Journée internationale des droits des femmes.

publié le 12 mars à 11h59, Sophie Eygué, 6Medias

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