Météo : un temps agité avec des coups de vent et de fortes pluies attendu en fin de semaine dans l'Hexagone
Météo-France prévoit le retour d'un temps agité, frais et instable à partir du mercredi 21 février, avec l'arrivée d'une dépression active dans le nord-ouest.
Gare à la pluie et au vent à partir du milieu de la semaine. Dans son bulletin publié lundi 19 février, Météo-France annonce que le temps sera "agité, instable et frais", après un début de semaine "calme et généralement sec". Ces perturbations s'expliquent notamment par l’arrivée sur l’Hexagone d’un flux atmosphérique très perturbé venu de l’Atlantique Nord. Comme le précise Ouest-France, les quantités de précipitations seront au-dessus des normales de saison mercredi 21 février, avec des cumuls de 30 mm dans le Finistère et supérieurs à 10 mm sur le reste d’un grand quart nord-ouest.
Sur la fin de semaine, les rafales pourront atteindre jusqu'à 80 km/h dans les terres et 100 km/h sur le littoral, indique Météo-France. En revanche, le sud-ouest et les régions de l’est devraient encore être épargnés, et les températures y resteront "toujours élevées pour un mois de février", note l’organisme météorologique.
Un week-end venteux et agité
Les averses continueront de s'abattre jeudi 22 février sur le nord du pays, avec d’importants cumuls attendus en Bretagne, en Normandie, mais aussi dans les Ardennes et la Lorraine. Ces précipitations, qui revêtiront "un caractère de giboulées", s’accompagneront d’un "front froid" et de fortes rafales, estiment Météo France et la Chaîne Météo. La perturbation gagnera les régions du nord-est et de l’est dans la nuit.
Le week-end des samedi 24 et dimanche 25 février s’annonce lui aussi agité et venteux. Une nouvelle dépression venue du nord-ouest va aborder le pays à partir de samedi, avec des conséquences encore indéterminées. "Des pluies abondantes devraient notamment concerner le sud-ouest où les cumuls pourraient devenir significatifs sur la période", explique Météo France dans son dernier bulletin de prévision des phénomènes dangereux. "La localisation et les quantités des précipitations restent à déterminer", conclut l’institut météorologique.
publié le 19 février à 17h54, Quentin Marchal, 6Medias
