"J’ai vomi ce que j’avais mangé" : à Toulouse, un homme retrouve des asticots vivants dans sa salade en conserve
© ANDBZ/ABACA (Photo d'illustration)
Mardi 15 octobre, un paysagiste toulousain a eu la mauvaise surprise de déguster une salade en conserve accompagnée d’asticots, qu’il venait d’acheter chez Aldi pour sa pause déjeuner. Le groupe a indiqué que des vérifications avaient lieu pour déterminer s’il s’agit d’un cas isolé, rapporte La Dépêche.
Des ingrédients qui ne figuraient pas sur la liste. Mardi 15 octobre, Julien, un paysagiste toulousain, s’est rendu au magasin Aldi de Labarthe-sur-Lèze pour acheter de quoi déjeuner. Son choix s’est porté sur une salade en conserve de la marque Les Doris, qui comporte notamment du thon et du maïs.
"En mangeant la première bouchée, j’ai senti un petit goût de fermentation", explique-t-il auprès de La Dépêche. Il dit ensuite avoir observé le fond de sa conserve, et y avoir vu deux asticots "en train de se balader", comme l’attestent les images qu’il a lui-même publiées sur les réseaux sociaux. "Ma toute première réaction a été de vomir, j’ai vomi ce que j’avais mangé dans la boîte", détaille-t-il.
Des vérifications en cours
Julien s’est ensuite interrogé quant aux conséquences que cela pourrait avoir sur sa santé. "Il y a des risques pour le botulisme ou d’une intoxication alimentaire", note-t-il. S’il n’a finalement pas été malade, il pointe du doigt les risques que cela pourrait avoir sur un enfant ou une personne âgée. En quête de réponses, il est retourné dans le magasin, où on lui a proposé un remboursement, souligne La Dépêche. "Ce que je demande, c’est que ça ne se reproduise plus et qu’il y ait un contrôle plus important sur la qualité des boîtes", affirme-t-il encore.
Selon le quotidien régional, qui a contacté Aldi, des vérifications sont en cours afin de déterminer si la mésaventure vécue par Julien est un cas isolé ou si tout un lot a potentiellement pu être parasité par des insectes. Cependant, Aldi a indiqué ne pas vouloir retirer le produit des rayons tant qu’il n’y a aucune certitude.
publié le 20 octobre à 07h00, Théo Rampazzo, 6Medias