La question du jour :

Internet : pensez-vous que vos mots de passe soient suffisamment sécurisés ?

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Internet : pensez-vous que vos mots de passe soient suffisamment sécurisés ?

© Pixabay - Une étude a révélé les mots de passe préférés des Français.

Selon une étude publiée ce mardi 15 novembre, les mots de passe les plus utilisés s’avèrent insuffisamment sécurisés, rapporte BFMTV. Estimez-vous que les vôtres se révèlent suffisamment solides pour résister aux éventuels piratages ?

C'est un phénomène qui ne se tarit pas. Les Français utilisent des mots de passe dont la sécurité laisse à désirer. Ce mercredi 15 novembre, une nouvelle étude réalisée par l'entreprise Nordpass dresse la liste des identifiants préférés des Français et de 34 autres pays, comme l'a relaté BFMTV. Au total, des millions d’identifiants et de mots de passe émanant de différents comptes ont été analysés. Et vous, considérez-vous les vôtres comme suffisamment robustes pour éviter les cyberattaques ?

Dans les dix premières occurrences, figurent des éléments traditionnels, comme les suites de chiffres : "123456","123456789" ou encore "000000 ". En outre, les internautes français apprécient les lignes de lettres indiquées sur leur clavier, comme "azerty" et "azertyuiop". De manière plus insolite, certains sobriquets reçoivent leur faveur, à l’instar de "loulou" et "doudou".

Renforcer la sécurité des mots de passe

En dehors des dix mots de passe les plus populaires, se trouvent "marseillais" ou encore "motdepasse". À l’étranger, les noms de clubs de football recueillent un certain suffrage ("barcelona", "chelsea", "liverpool").

Ces mots de passe portent pour dénominateur commun leur absence de robustesse. Les logiciels utilisés dans l’étude ont débusqué ces mots en une seconde. Pour conjurer les éventuels actes malveillants, un mot de passe composé de lettres, de chiffres et de caractères spéciaux, suffit. De surcroît lorsqu’il s’agit d’accéder sur les sites de plateformes de streaming. Sur ces derniers, l’armature de sécurité reste très friable. Bien moins que les sites institutionnels ou financiers.

publié le 16 novembre à 07h00, Antoine Grotteria, 6Medias

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