Fin de vie, fusillades à Marseille, prise de Bakhmout... Les cinq infos à retenir ce lundi 3 avril
Emmanuel Macron rencontre les membres de la Convention citoyenne sur la fin de vie, Élisabeth Borne reçoit les partis politiques et groupes parlementaires à Matignon, trois fusillades à Marseille...Voici les actus à ne pas manquer ce lundi.
Rencontre présidentielle
La Convention citoyenne sur la fin de vie a rendu son verdict, dimanche 2 avril, en tranchant pour la majorité en faveur d’une aide active à mourir. Si certains penchent davantage pour le suicide assisté, d’autres sont en faveur de l’euthanasie, indique franceinfo. Se posait également la question des soins palliatifs, à propos desquels les 184 citoyens membres de la Convention sont d’accord pour dire qu’il faut améliorer le service et surtout que l’offre de soins soit accessible à tous. C’est pour continuer de discuter et de travailler sur ces sujets qu’Emmanuel Macron les recevra, lundi 3 avril, afin de "tracer la suite" du processus, a déclaré l’Élysée.
Réunion à Matignon
La semaine s’annonce chargée pour Élisabeth Borne. Dès lundi, la Première ministre recevra les différents partis politiques et groupes parlementaires à Matignon pour parler de la suite de la réforme des retraites, rapporte franceinfo. Si le groupe Liot et Les Républicains ont confirmé leur venue, le PS, les Verts, LFI et les communistes ont décliné l’invitation du gouvernement, précise franceinfo.
Le groupe Wagner envahit Bakhmout
En Ukraine, le groupe armé Wagner revendique la prise de la mairie de Bakhmout, dans le Donbass. "Au sens légal, Bakhmout a été capturée. L'ennemi est concentré dans les zones ouest", a ainsi déclaré Evguéni Prigojine, chef de Wagner, sur Telegram, rapporte Le Figaro. Une "attaque massive" survenue dans la matinée, selon la police ukrainienne, qui a touché plusieurs habitations, un gazoduc, un bâtiment administratif ou encore un jardin d’enfants.
Fusillades à Marseille
Dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 avril, trois fusillades ont eu lieu dans les quartiers nord de Marseille. Alors que trois personnes sont mortes, trois autres sont en pronostic vital engagé, précise Le Point. La police judiciaire a été chargée des enquêtes, précise le magazine.
Ouverture du procès de l'attentat rue Copernic
Le 3 octobre 1980, une bombe explosait devant la synagogue de la rue Copernic, située dans le 16e arrondissement de Paris. L’explosion avait coûté la vie à quatre personnes et blessé une quarantaine de personnes au sein du lieu de culte. Ce n’est que 42 ans plus tard, lundi 3 avril 2022, que s’ouvre le procès de cet attentat, rapporte 20 Minutes. Hassan Diab, l’universitaire libano-canadien accusé d’avoir déposé la bombe, va être jugé devant la cour d’assises spéciale de Paris, mais ne devrait pas se présenter. En 2018, après avoir bénéficié d’un non-lieu, il avait pu rentrer au Canada où il réside actuellement. Aujourd’hui, il encourt la réclusion criminelle à perpétuité, précise Le Point.
publié le 3 avril à 07h05, Orange avec 6Medias
