Loi anti-casseurs: "Le manifestant violent pourrait venir pointer dans son commissariat de résidence" juge Ian Boucard (LR)
par BFMTV
Dans le sillage des violences lors de la mobilisation contre la réforme des retraites, le gouvernement annonce "réfléchir" à une nouvelle loi anti-casseurs. En avril 2019, après plusieurs mois de contestation violente lors de la crise sociale des "gilets jaunes", le précédent texte avait instauré le délit de dissimulation du visage sans motif légitime en manifestation et autorisé les fouilles de sacs et de véhicules, dans et aux abords des cortèges. Le Conseil constitutionnel avait en revanche censuré la mesure permettant aux préfets de prononcer des interdictions administratives de manifester, sur le modèle des interdictions administratives de stade sanctionnant les supporters de foot violents.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
18:46Politique - Jordan Bardella : Fayard attaque la régie publicitaire de la SNCF pour l'interdiction de la promotion du livre du président du RN
-
18:25France - La Poste : acheter ses légumes et déposer son courrier dans une ferme est désormais possible dans sept départements
-
18:20Sports - Masters WTA : Zheng en finale
-
18:05Faits divers - Paris : un maître d'hôtel de Matignon interpellé en pleine transaction de cocaïne
-
06:00Auto - Prime à la conversion : suppression ou réajustement ? On vous explique