Vendée Globe : fatigué, Beyou explique qu'"il n''y a toujours pas d'opportunité mais je m'accroche"
par Le Télégramme
Septième, à la bagarre avec Nicolas Lunven dans la remontée de l'Atlantique Sud, Jérémie Beyou s'accroche alors que les conditions au près dans une mer hachée sont difficiles : "Je me suis fait croquer par le centre dépressionnaire mais j'ai retrouvé du vent. Il faut aller vite et face à la mer, c'est un peu inconfortable. Depuis le Pacifique, c'est mieux d'être derrière. Il n'y a toujours pas d'opportunité mais je m'accroche", dit encore le skipper de Charal, qui semble épuisé et ému à la fin de sa vidéo. "C'est difficile de trouver des moments pour se reposer mais quand je vois ma tête, il va falloir que j'aille dormir".
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