"On ne se sent plus en sécurité": le quotidien d'un assigné à résidence depuis novembre
par BFMTV
L'état d'urgence post-attentats du 13 novembre pourrait être prolongé une troisième fois; les députés en débattront le 19 mai prochain. Une situation parfois difficile à vivre pour certains, assignés à résidence dans le cadre de cet état d'urgence. C'est le cas d'Anis. Depuis novembre, ce père de famille ne peut plus sortir de chez lui entre 20 heures et 6 heures, et doit pointer deux fois par jour au commissariat. Des contraintes difficiles à concilier avec son travail.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
12:23Politique - "Ce ne sont pas les communes qui créent de la dette, c'est l'État" : le maire de Lyon fustige les efforts demandés aux collectivités dans le budget 2025
-
12:14Sports - Basket 3x3 - JO de Paris 2024 : Dussoulier a vécu un rêve
-
12:13Économie - Mercosur: un débat suivi d'un vote aura lieu prochainement au Parlement
-
12:06France - Chaque jour, trois victimes de féminicides ou tentatives de féminicides conjugaux, selon un rapport
-
07:00Auto - Les aides à la conduite arrivent chez les cyclistes