Les images révoltantes du videur d’une boîte de nuit de Rouen qui jette à trois reprises un parpaing en béton sur un chien - L homme a été licencié après la diffusion des images
par morandini
C'est une information qui est révélée par nos confrères du site Actu. Le videur d’une boîte de nuit de Rouen a été licencié après avoir jeté à trois reprises un parpaing sur un chien dans la nuit du 25 au 26 octobre. Sur une vidéo qui a été largement diffusée sur les réseaux sociaux, on voit le videur s’avancer vers l’animal, avant de jeter violemment le bloc de béton sur l'animal qui semble être touché au museau.Sous les yeux de nombreux témoins, dont l’un porte un brassard de sécurité, le vigile récupère ensuite le parpaing, en partie brisé, pour le lancer à nouveau sur le chien. Le vigile a été licencié par l’établissement Le Boho Club, qui a publié un communiqué :« Deux individus fortement énervés et alcoolisés se sont présentés. L’accès leur a été refusé », explique l’établissement sur Instagram, ajoutant que ces derniers sont revenus « menaçant » avec un chien, qu’ils ont « démuselé et lâché sur le personnel et les clients ».Toujours selon le communiqué, "dans un moment de panique incontrôlée, un agent a jeté à plusieurs reprises devant le chien un parpaing afin de le faire fuir. Les services de police ont été immédiatement averti. De nombreux témoins dans la rue attestent notre version."Le Boho Club Une source policière confirme que la police a été saisie via Pharos pour les faits décrits dans la vidéo, sans apporter davantage de précisions. Une enquête a été ouverte.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
04:13France - Macron en Argentine pour "raccrocher" Milei au "consensus international"
-
04:01Monde - Le Gabon vote pour ou contre une nouvelle Constitution, "tournant majeur" après le putsch
-
03:28Monde - Pays-Bas: la coalition au pouvoir survit à une démission après des accusations de racisme
-
15/11Sports - Pro D2 (J11) : Grenoble retrouve son fauteuil
-
15/11Auto - Michelin n'échappe pas à la crise des équipementiers