Voile : En atlantique Nord, à bord du trimaran d'Anthony Marchand
par humanite-fr
Après un départ donné le 7 janvier depuis Brest, la nouvelle course autour du monde, dédiée à la classe Ultim, est bien lancée. Au 3ème jour, le skippeur Anthony Marchand nous raconte sa course depuis l'Atlantique nord.« Bonjour l'Huma, bienvenue à bord de l'ultim Actual 3 », c'est avec ses mots qu'Anthony Marchand nous accueille avant de nous préciser sa position : « Là, on vient de passer Madère (Portugal) et on se rapproche des îles Canaries (Archipel espagnol) ».Après un début de course très puissant qui a permis à Anthony de s’installer un temps aux avant-postes, le skippeur a ensuite concédé 50 milles à la concurrence. La faute à une grande bâche bloquée dans la dérive de son maxi trimaran qui l’a ralenti pendant quelques d’heures.Dorénavant Anthony est à la recherche d'un gros coup de vent afin de glisser au plus vite vers le sud en direction de l'équateur.Après des conditions assez clémentes depuis le début de la course, Anthony nous prévient que ça risque de secouer fort dans les jours qui viennent.Le navigateur nous dévoile aussi son prochain repas : tomates, saucisses et quelques bonbons qu'il a pris soin d'emporter pour le plaisir.Anthony Marchand tient un carnet de bord vidéo chaque vendredi dans l’Humanité, durant sa participation à L'Arkea Ultim Challenge, une nouvelle course, dédiée à la classe Ultim, ces maxi-multicoques de 32 mètres de long. Le parcours est simple : il s'agit d'un tour du monde, au départ et à l'arrivée de Brest, à effectuer en solitaire et sans escale.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
19:34Sports - Disparition : Bordeaux annonce le décès de Pierre Labat
-
19:33Monde - Poutine reçoit le Premier ministre slovaque, en visite surprise à Moscou
-
19:20Politique - Bruno Retailleau pose ses conditions pour rester au ministère de l'Intérieur
-
19:11France - "Derniers réglages" en cours, mais l'annonce d'un nouveau gouvernement reportée
-
09:20Auto - Freeporteur : la simplicité du cargo français