Etre photoreporter en Ukraine : "certaines photos sont impubliables"
par liberation
Pour Rafael Yaghobzadeh, «la photographie de guerre, c’est rendre ordinaire ce qui est extraordinaire». Envoyé en Ukraine par Libération entre février et avril 2022, son objectif est de permettre à nos lecteurs de ressentir la réalité du conflit depuis le terrain. Chloé Sharrock s’est rendu dans le pays au début du mois de mars 2022. D’après elle, les photoreporters doivent documenter cette invasion pour en conserver une trace, «certaines photos peuvent être, parfois, des preuves de crimes de guerre».Dans cette vidéo, les deux journalistes reviennent sur leur vision du métier et sur leurs expériences, leurs rencontres lors de ce conflit. Rafael Yaghobzadeh en connaît bien les enjeux, il documente la situation en Ukraine depuis 2014. Chloé Sharrock, de son côté, a couvert l’est du pays et a réalisé une série de portraits d’hommes et de femmes engagés et solidaires face à l’invasion russe.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
18:50Sports - Ski alpin : Sarrazin est ''réveillé et conscient''
-
18:25Économie - Un foyer de grippe aviaire "hautement pathogène" détecté dans un élevage dans l'Eure
-
17:50Politique - Pourquoi François Bayrou a retardé sa visite à Mayotte de 24 heures ?
-
17:46Monde - Sabotage d'un câble en Baltique : le pétrolier saisi par la police finlandaise
-
09:10Auto - « Uber by Women » : Des conductrices pour la sécurité des femmes