Affaire Bygmalion : Copé s'indigne puis s'interroge

par liberation

D'un «coup monté de manière ignoble» à «J'ai des interrogations», Jean-François Copé a changé de ligne de défense dans l'affaire du Bygmalion, sur le règlement par l'UMP de près de 20 millions d’euros à une filiale de Bygmalion, Event&Cie pendant la dernière campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy.

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