Un documentaire teinté d'animation sur la piraterie moderne
par euronews-fr
“The Last Hijack” est un récit de survie. Une histoire vraie. Celle de Mohamed, un pirate somalien, racontée de son point de vue. Le réalisateur américain Tommy Pallotta adopte une nouvelle approche, hybride, pour tenter de comprendre comment Mohamed en est venu à mener une existence aussi brutale et dangereuse. Tommy Pallotta : “Ses parents veulent qu’il arrête la piraterie, sa fiancée aussi veut qu’il arrête, mais en même temps tout le monde en veut à son argent. Donc ce qu’il fait vraiment dans ce film c’est qu’il prépare son mariage, qu’il veut retrouver ses parents et ses enfants et en même temps il prépare un détournement et il se dit “j’en fais juste un de plus et après je m’arrête.”Le film est un savant et étonnant mélange de scènes classiques et d’animation qui prend le relais sur la narration. Tommy Pallotta : “On avait un peintre, un peintre néerlandais qui faisait de la peinture à l’huile sur les tableaux et ensuite on prenait ces peintures et on les transformait en un monde animé en 3D ce qui leur donnait une touche beaucoup plus humaine. Cela enlevait le côté mathématique de l’animation et ça changeait la palette des couleurs, c‘était un vrai défi parce que nous savions que nous voulions passer de l’action live à l’animation mais vous ne voulez pas non plus perdre le public en route.”“The Last Hijack”, film aux confins du documentaire et de l’animation est disponible en vidéo à la demande.
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