Sanctions après le putsch au Niger : "il y a des voies de contournement possibles"
par France 24 FR
Lundi soir, le Burkina Faso et le Mali, voisins du Niger et gouvernés également par des militaires, ont affiché leur solidarité avec les putschistes en affirmant que toute intervention militaire pour rétablir Mohamed Bazoum serait considérée "comme une déclaration de guerre" à leurs deux pays et entraînerait leur retrait de la Cédéao, "ainsi que l'adoption de mesures de légitime défense en soutien aux forces armées et au peuple du Niger". Ils ont ajouté, dans un communiqué commun, qu'ils "refusent d'appliquer" les "sanctions illégales, illégitimes et inhumaines contre le peuple et les autorités nigériennes" également décidées dimanche par la Cédéao à Abuja. Pour en savoir plus, FRANCE 24 reçoit Thierry Vircoulon, chercheur associé au Centre Afrique subsaharienne à l'IFRI.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
00:09Monde - Israël arrête le directeur d'un hôpital de Gaza dans une opération militaire, l'OMS "consternée"
-
28/12Sports - NBA : Wembanyama a joué aux échecs avec ses fans en plein New York
-
28/12France - Un virement bancaire de 212 euros en moyenne arrive pour 56 millions de Français
-
28/12Politique - Narcotrafic : Gérald Darmanin annonce vouloir isoler les "100 plus grands narcotrafiquants écroués"
-
28/12Auto - « Uber by Women » : Des conductrices pour la sécurité des femmes