Colombie : la 2e guérilla du pays accepte de négocier la paix
par euronews-fr
L’effet prix Nobel : quatre jours après l’attribution du prix Nobel de la paix au président colombien, lundi, c’est l’Armée de libération nationale, l’ELN, la seconde guérilla colombienne qui a finalement accepté d’entrer en négociations avec le gouvernement colombien. Colombie: Après les Farc, la deuxième guérilla veut aussi faire la paix https://t.co/zex6QslqlH pic.twitter.com/bU2DQTekBV— 20 Minutes (@20Minutes) 11 octobre 2016 Juan Manuel Santos, le président colombien : “Le 27 octobre, le gouvernement va commencer les négociations publiques avec l’ELN (...). Pour que cela devienne possible, il était essentiel que le processus de libération des otages ait commencé, pour qu’il n’y ait plus d’otages de l’ELN en Colombie.” Reste à convaincre les Colombiens La libération d’un otage, lundi à la frontière vénézuelienne était une ligne rouge pour Bogota. Il en resterait trois à libérer. Inspirée par la révolution cubaine, l’Armée de libération nationale est considérée depuis des années comme une organisation terroriste aux Etats-Unis comme en Europe. Cette milice compterait 1500 à 2000 combattants. Après l’accord signé avec la guérilla des Farc le 26 septembre dernier, l’horizon semble s‘éclaircir en Colombie après 50 ans de conflits meurtriers qui ont fait plus de 260 000 morts et 45 000 disparus. A condition que les Colombiens l’acceptent : le 2 octobre ils ont rejeté par référendum le 1er accord de paix avec les Farc. Avec Agences
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
23:49Sports - Vendée Globe 2024 : Le classement ce lundi 25 novembre à 23h
-
23:08Faits divers - Les tantes des frères Menendez réclament leur libération à la justice américaine
-
22:51Économie - Wall Street termine en hausse, record du Dow Jones
-
22:00France - Rhône : à Villeurbanne, la tempête Bert ravage le plafond d'un collège
-
07:00Auto - Pourquoi les voitures françaises avaient-elles les phares jaunes ?