Violences au Stade de France : « C’est une misérable histoire de pickpockets »
par LePointActu
« L'affaire du Stade de France, c'est une misérable histoire de pickpockets parmi une foule de supporteurs, un contexte pour le moins habituel en Seine-Saint-Denis », tonne l'avocat Loïc Le Quellec, commis d'office à la 17e chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Bobigny, où six mis en cause comparaissaient, mardi après-midi, à la suite des troubles à l'ordre public commis lors de la finale de la Ligue des champions, samedi 28 mai. La robe noire a tenu à remettre les incidents à leur juste proportion – le désordre n'a occasionné ni mort ni blessé – alors que la représentante du parquet tentait d'« internationaliser » des faits de délinquance « qui dépassent le cadre de l'audience ». La passe d'armes entre l'accusation et l'avocat s'est aussi teintée d'ironie : alors que la parquetière requiert dix mois de détention ferme à l'encontre d'un Algérien de 24 ans sans papiers, inconnu des services de police et suspecté de recel de vol d'un téléphone portable sur le quai bondé de la ligne 13 du métro après le match, Loïc Le Quellec ne s'est pas laissé impressionner.https://www.lepoint.fr/faits-divers/violences-au-stade-de-france-c-est-une-miserable-histoire-de-pickpockets-01-06-2022-2477939_2627.phpSuivez nous sur : - Youtube : https://www.youtube.com/c/lepoint/- Facebook : https://www.facebook.com/lepoint.fr/- Twitter : https://twitter.com/LePoint- Instagram : https://www.instagram.com/lepointfr- www.lepoint.fr
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