Une libération remplie de zones d'ombre
par CNEWS
Le retour sur le sol français de la famille Moulin-Fournier, captive pendant deux mois de Boko Haram au Nigeria, laisse en suspens certaines interrogations. François Hollande s'est déclaré par principe contre le paiement de rançons aux ravisseurs. Un "dédommagement" aurait alors pu être payé par l?entreprise GDF-Suez, employeur de Tanguy Moulin-Fournier. La secte islamiste réclamait aussi la libération de ses membres emprisonnés au Nigeria et au Cameroun. Des questions auxquels les autorités françaises et camerounaise répondent par la discrétion.
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