"Je voulais qu’on me laisse dormir": la détresse psychologique d'étudiants toulousains
par AFP FR
"J’avais plus la motivation, je voulais qu’on me laisse dormir et qu’on me laisse tranquille": pour de nombreux étudiants, la reprise très partielle du présentiel début février ne comble pas l’isolement ni l’angoisse du lendemain provoqués par la crise sanitaire. Certains, en détresse psychologique, bénéficient d’un soutien gratuit proposé par des services de soin dédiés, tels que le SIMPPS à Toulouse.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
-
Tous publics
-
Tous publics
-
Tous publics
-
Tous publics
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
13:21France - Le tribunal d'application des peines ordonne la libération du militant propalestinien Georges Abdallah
-
13:07Économie - Manifestations d'agriculteurs devant des centres des impôts des Bouches-du-Rhône
-
13:05Sports - WTA : Des nouvelles de Caroline Garcia, la tenniswoman-étudiante
-
12:58Monde - Espagne : au moins 10 morts dans l’incendie d’une maison de retraite
-
07:00Auto - Michelin n'échappe pas à la crise des équipementiers
