Antonio, "gilet jaune" estropié, n'a "pas de regrets"
par AFP FR
Antonio vit appuyé sur des béquilles qu'une grenade GLI-F4 explose à ses pieds à Paris, le 24 novembre. Malgré les cauchemars qui le réveillent la nuit, il est retourné manifester pour faire entendre la parole des quelque 2.000 manifestants qui, comme lui, ont été blessés depuis le début du mouvement.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
22:03Économie - Wall Street termine en hausse, passe outre un mauvais chiffre de l'emploi
-
22:02Monde - Le Liban accuse Israël de refuser une trêve après une série de frappes sur Beyrouth
-
22:01Sports - L2 (J12) : Le Paris FC neutralisé dans un match fou, Lorient tombe à Clermont
-
21:20Faits divers - Une vingtaine de tags antisémites à Paris : une enquête ouverte
-
06:00Auto - Ferrari F80 : 1 200 chevaux grâce à un V6 hybride