Une maison de l’horreur à Cavaillon, jusqu’au 2 novembre au soir
par La Provence
Pour Halloween, jeudi 31 octobre, vendredi 1er et samedi 2 novembre, la famille Debliquy-Martho ouvre grand sa maison apprêtée pour l'occasion. Frissons et ambiance assurés. Les plus courageux ont rendez-vous aux 67 avenue René-Coty... Bienvenue dans l'antre de vos plus sombres cauchemars. À partir de de ce jeudi et jusqu'à samedi, la cité cavare devient celle de la peur. En effet, pour Halloween, la famille Debliquy-Martho ouvre grand les portes de sa maison, au 67 avenue René-Coty et invite les plus courageux à venir se frotter à leurs décorations funèbres durant trois soirées. "C'est la troisième année que nous organisons cette manifestation. La première édition avait été très intimiste et la deuxième un peu plus fréquentée. Cette année, nous avons mis le paquet et espérons jusqu'à 500 visiteurs, témoignent Les 10 membres investis de la famille, à la veille des festivités. Nous sommes originaires de la Belgique et là-bas c'est très démocratisé : les gens décorent leur maison et ouvrent leurs portes facilement. Notre objectif, aujourd'hui, est donc de créer la même dynamique dans le Vaucluse. Sur le territoire, pour Halloween, c'est souvent plutôt morose. Comme nous avons grandi dans cette tradition, nous avons trouvé opportun de relancer cette pratique festive ici. Nous aimons faire la fête, mais aussi faire peur. C'est d'ailleurs toujours amusant de voir les visiteurs se décomposer et passer par toutes les émotions quand ils visitent notre création."
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
11:27Politique - Budget 2025 : Martine Aubry et la mairie de Lille vent debout contre les coupes budgétaires
-
11:05Politique - Budget: "pas de catastrophe annoncée" tempère Braun-Pivet face aux menaces de crise financière
-
11:04Économie - Aides à la rénovation: TotalEnergies conteste toute fraude
-
11:00Sports - OM : Une longue mise au vert avant la réception de Monaco
-
07:00Auto - Trump président : quels changements pour les marques européennes ?