Enlèvements au Nigeria: le Cameroun nie être une "base arrière"

par AFP FR

Après l'enlèvement de 223 jeunes filles âgées entre 16 et 18 ans au Nigeria par le groupe islamique Boko Haram, certaines sources ont affirmé que le Cameroun abriterait certaines d'entre elles. Face à ces allégations, le ministre camerounais de la Communication Issa Tchiroma Bakary s'est exprimé, lundi 5 mai, devant la presse. Durée: 01:43

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