La Cité du Livre : La Cité du livre - Michèle Alliot-Marie

par LCP

Une émission présentée par Émilie Aubry+ L’essai de la semaine :  "Latifa Ibn Ziaten" auteur de "Mort pour la France", aux éditions Broché.Résumé : Imad Ibn Ziaten, première victime assassinée par Mohamed Merah. Le 11 mars 2012, après s’être assuré qu’Imad était bien un militaire, Mohamed Merah, avait sèchement abattu l’homme de 30 ans de deux balles. Le « tueur au scooter » avait pris rendez-vous avec lui, en se faisant passer pour un acheteur éventuel de sa moto.Dans ce livre, elle rend hommage à son fils, mort pour la France.+ La cité en coulisses : Du 22 au 25 mars prochain se déroulera le Salon du livre à Paris (Porte de Versailles). Pour sa 33ème édition, cet évènement met à l’honneur cette année les lettres roumaines. Le pavillon central de 400 m², comprenant une librairie et un espace rencontres, permettra de découvrir de nombreuses œuvres de littérature roumaine (en langue française et en langue roumaine).Pour quelle raison et comment les organisateurs choisissent-ils un pays plus qu’un autre ? Quelles sont les répercussions institutionnelles, éditoriales et commerciales d’un tel choix sur les futures publications ? C’est l’enquête de la semaine …+ Le roman de la semaine :  "Daniel Carton" auteur de "A la grâce, une enfance dans les corons", aux éditions Fayard.Résumé : "Au Nord", au temps du Général, une cité née du charbon sur une colline d’Artois, avec terril et clocher, sa mairie communiste et ses belles demeures d’ingénieurs. Les élèves admis au certif’ y recevaient les accolades khrouchtchéviennes des camarades élus. Les hommes rêvaient du stade Bollaert. Les mères filaient à la messe pour que leur petit ait le droit de faire sa communion avec monsieur le curé. La mère de l’auteur en particulier, qui l’élevait seule avec trois fois rien, mais gardait chevillée à l’âme sa foi dans la grâce de Dieu.Ce peuple des ’ z’houillères ’partageait les mêmes joies et les mêmes peines. La solidarité luttait pied à pied avec la rudesse de l’existence. Comment ne pas se souvenir de l’attachement viscéral de ces gens peu ordinaires à leurs maisons de briques, leurs potagers, qui ne les empêchait pas de souhaiter tout aussi ardemment que leurs enfants en sortent, s’en éloignent le plus possible, et jamais plus ne travaillent de leurs mains ? Daniel C

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