Sur France 2, l’acteur Philippe Rebbot se demande si il ne faut pas stopper les émissions de divertissements à la télé pendant la guerre en Ukraine
par morandini
La télévision et en particulier la télévision française doit-elle stopper ses émissions de divertissements pendant la guerre en Ukraine ? C'est la question qu'a posé hier soir, un des invités de Laurent Ruquier et Léa Salamé en plein direct sur France 2.L'acteur Philippe Rebbot, invité de "On est en direct" s'est en effet interrogé :"Est-ce que l'on doit faire des émissions de divertissements en pleine guerre. Je n'ai pas de doutes sur le fait qu'on se pose toute la question, mais peut-être qu'il faudrait arrêter l'émission et descendre dans la rue. Et dire, on arrête... On arrête de déconner. Ce drapeau jaune et bleu, nous dit quelque chose qui fait que l'on ne peut pas rigoler pendant ce temps-là. C'est mon problème du moment. On se retrouve tous pris au piège de ce truc là".Opposé à une telle suspension, le polémiste et écrivain Yann Moix également présent sur le plateau estime qu'il est temps "de considérer que l'on est en guerre depuis 25 ans, une troisième guerre mondiale n'est pas quelque chose qui arrive d'un coup". Des arguments balayés par l'acteur, qui ne souhaite "pas refaire toute l'Histoire, en revanche aujourd'hui qu'est-ce qu'on fait ?"De son côté Léa Salamé a expliqué qu'elle s'est posée la question en se demandant si il fallait faire une spéciale Ukraine ce soir ou parler de culture et de conclure par "On a chois d'associer les deux".
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
01:59Environnement - Les côtes du Pérou et de l'Equateur frappées par d'énormes vagues
-
00:09Monde - Israël arrête le directeur d'un hôpital de Gaza dans une opération militaire, l'OMS "consternée"
-
28/12Sports - NBA : Wembanyama a joué aux échecs avec ses fans en plein New York
-
28/12France - Un virement bancaire de 212 euros en moyenne arrive pour 56 millions de Français
-
28/12Auto - « Uber by Women » : Des conductrices pour la sécurité des femmes