Salon de l'Agriculture : Revoir en 120 secondes les images du fiasco de la visite d'Emmanuel Macron avec des affrontements, des violences, des sifflets et un Président dans "une bulle" pour se déplacer
par morandini
Un fiasco ! C'est le mot qui revient dans toutes les bouches pour qualifier la journée d'hier et la visite du Président de la République qui dès 8h du matin a mal tourné. Emmanuel Macron a quitté hier soir le Salon de l'agriculture après plus de 13 heures d'une visite marquée par des heurts et d'intenses manifestations de colère au début, puis une longue déambulation dans les lieux sous haute protection policière. Retour sur une journée sous haute tension avec le résumé ci-dessus réalisé par le journal de France 2 hier soir.Le préfet de police de Paris Laurent Nuñez a annoncé un bilan de 6 interpellations, dont 3 pour violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique, lors de cette première journée au Salon de l'agriculture. "Je déplore huit blessés dont deux plus sérieusement touchés. Nous avons dans ce cadre la procédé à six interpellations dont trois pour violence sur personne dépositaire de l'autorité publique", a-t-il précisé lors d'un point presse.Devant un groupe de journalistes, Emmanuel Macron a dénoncé ceux qui n'avaient envie que de casser ou de siffler", en référence aux heurts qui ont eu lieu dans la matinée. "Ce matin il y avait de la colère, de l'impatience, des demandes, j'ai été au contact pas pour simplement échanger mais écouter, expliquer, lancer de nouvelles actions et agir", a-t-il ajouté lors de ce point presse.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
03:28Monde - Pays-Bas: la coalition au pouvoir survit à une démission après des accusations de racisme
-
03:27Monde - Nouvelle-Zélande: une députée interrompt une séance parlementaire avec un haka
-
02:10Monde - Trump nomme Karoline Leavitt, 27 ans, porte-parole de la Maison Blanche
-
15/11Sports - Pro D2 (J11) : Grenoble retrouve son fauteuil
-
15/11Auto - Michelin n'échappe pas à la crise des équipementiers