Inceste - Accrochage hier soir entre l'avocate de Richard Berry et Pascal Praud : "On ne peut pas mettre dans les affaires Duhamel, Pulvar et Berry ! Ca n'a rien à voir..."
par morandini
Maître Sophie Obadia, l'avocate de Pascal Praud était hier soir l'invitée à 20h sur CNews de Pascal Praud dans L'heure des Pro 2. Elle voulait réagir aux propos, le matin même sur France Inter, de la fille de Rochard Berry qui a accusé une nouvelle fois son père. Mais dès le début de son intervention, elle s'est adressée à Pascal Praud, souhaitant remettre des choses au point: "D'abord la première chose que j'ai envie de vous dire, Pascal. C'est que vous ne pouvez pas mélanger comme vous venez de le faire : Duhamel, Berry... C'est pas du tout les mêmes affaires. Dans l'esprit des gens, ce sont des affaires comparables" affirme l'avocate de l'acteur. Riposte immédiate de Pascal Praud qui n'apprécie pas vraiment l'accusation : "J'ai pas du tout mélangé, pardonnez-moi ! J'ai dit : 'on écoutera 3 témoignages'. Attendez, non, non, je n'ai jamais mélangé. Ca ce sont des procès, commencez pas comme ça, parce que je n'ai pas mélangé. J'ai annoncé le sommaire de l'émission en disant on écoutera 3 témoignages aujourd'hui"L'avocate riposte alors : "Elles sont citées en même temps. Elles n'ont rien à voir. Vraiment je tiens à le dire, car même si je n'étais pas l'avocate de Richard Berry, je vous dirais la même chose. Chaque affaire est différente. On ne peut pas les amalgamer sous un titre commun. La présentation qui consiste à dire : Duhamel, Berry, Pulvar dans la même phrase, ce ne sont pas les mêmes affaires du tout".
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
01:48Monde - Emeutes de 2023 à Brasilia: la justice argentine ordonne l'arrestation de 61 Brésiliens
-
00:38Monde - Un Biden affaibli tente de rassurer avant l'arrivée de Trump
-
15/11Sports - Pro D2 (J11) : Grenoble retrouve son fauteuil
-
15/11Économie - Wall Street finit en nette baisse, froissée par une Fed moins conciliante
-
15/11Auto - Michelin n'échappe pas à la crise des équipementiers