Violences policières: un tabou sémantique est-il enfin levé au gouvernement ?
par LeHuffPost
Emmanuel Macron, ministre, théorisait en 2016 que l’incapacité à “bien nommer les choses” serait l’une des causes de la “désaffection des Français pour les hommes politiques”. Le candidat d’En Marche! à la présidentielle ne mégotait donc pas sur le terme “violences policières” qu’il reprenait volontiers dans sa bouche en 2017 pendant la campagne. Le président Macron, lui, “récuse le terme de violences policières” estimant que “ces mots sont inacceptables dans un État de droit”. Mais certains de ces ministres ont récemment employé l'expression.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
03:00Monde - Israël intercepte un missile provenant du Yémen au lendemain d'une frappe sur Sanaa
-
00:53Monde - Pour une question de visas, de premières fissures dans la coalition de Trump
-
27/12Sports - Bilan mi-saison : Désillusion pour Caen, la surprise Dunkerque
-
27/12Monde - Le dernier grand hôpital du nord de Gaza "hors service" après un raid israélien, dénonce l'OMS
-
27/12Auto - Pourquoi les voitures électriques se font-elles plus souvent percuter par l'arrière ?