Violences policières: un tabou sémantique est-il enfin levé au gouvernement ?
par LeHuffPost
Emmanuel Macron, ministre, théorisait en 2016 que l’incapacité à “bien nommer les choses” serait l’une des causes de la “désaffection des Français pour les hommes politiques”. Le candidat d’En Marche! à la présidentielle ne mégotait donc pas sur le terme “violences policières” qu’il reprenait volontiers dans sa bouche en 2017 pendant la campagne. Le président Macron, lui, “récuse le terme de violences policières” estimant que “ces mots sont inacceptables dans un État de droit”. Mais certains de ces ministres ont récemment employé l'expression.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
15:56France - Chido: outre les décès, une quarantaine de personnes auraient disparu, selon le préfet de Mayotte
-
15:48Sports - Nantes : Kombouaré annonce le départ programmé d'un cadre
-
15:41Politique - Macron est parfois "meurtri" par "ce qu'il entend", il mérite "le respect", dit son épouse
-
15:41Monde - Le Premier ministre espagnol attaque Musk et met en garde contre la résurgence du fascisme
-
07:00Auto - Transports en commun : enfin le dispositif « Stop fraude » ?