Violences policières: un tabou sémantique est-il enfin levé au gouvernement ?
par LeHuffPost
Emmanuel Macron, ministre, théorisait en 2016 que l’incapacité à “bien nommer les choses” serait l’une des causes de la “désaffection des Français pour les hommes politiques”. Le candidat d’En Marche! à la présidentielle ne mégotait donc pas sur le terme “violences policières” qu’il reprenait volontiers dans sa bouche en 2017 pendant la campagne. Le président Macron, lui, “récuse le terme de violences policières” estimant que “ces mots sont inacceptables dans un État de droit”. Mais certains de ces ministres ont récemment employé l'expression.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
16:40Politique - Marine Le Pen face à la menace d'une peine d'inéligibilité : « Je suis candidate à la présidentielle de 2027 »
-
16:34Politique - "C’est inacceptable" : Bruno Retailleau demande des explications au PSG après la banderole en soutien à la Palestine
-
16:32Sports - Bleuets : La liste pour l'Italie et l'Allemagne avec trois nouveaux
-
16:29Monde - Ukraine: des concessions à Poutine seraient "suicidaires" pour l'Europe, dit Zelensky
-
06:00Auto - Panne ou accident : Puis-je choisir librement le garage où remorquer ma voiture ?