Peut-on composer avec un « allié » américain à la gouverne irrationnelle ?
par lemondefr
Gérer Trump est un casse-tête… Le premier ministre canadien, Justin Trudeau, en a fait l’amère expérience lors du G7 de Malbaie en 2018, où le président américain se retira du communiqué final qu’il venait de signer. Emmanuel Macron a fait, lui, le pari de miser à fond sur un lien personnel, même s’il n’a pas réussi à convaincre son homologue américain de ne pas quitter l’accord sur le climat ou celui sur le nucléaire iranien. Que faire lorsque votre principal allié ne respecte ni sa parole ni sa signature et qu’il vous traite à l’occasion plus mal qu’un ennemi ?Elisabeth Vallet, directrice de l’Observatoire de géopolitique de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et professeure associée au Département de géographie de l’UQAM, et Michel Duclos, diplomate, ancien ambassadeur à Damas, et aujourd’hui conseiller spécial à l’Institut Montaigne, en ont débattu le vendredi 25 octobre au Musée des beaux-arts de Montréal.Une rencontre animée par Marc Semo, journaliste au Monde.
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