Loi sécurité globale : Pourquoi le projet est jugé liberticide
par humanite-fr
Des centaines de manifestants se sont réunis près de l’Assemblée nationale à Paris, pour marquer leur opposition à la proposition de loi dite « sécurité globale », actuellement en cours d’examen dans l'hémicycle.Cette proposition de loi, portée par la majorité LaREM et la droite, prévoit plusieurs mesures jugées liberticides par ses détracteurs. En cause notamment, l’article 24 qui prévoit un encadrement strict de la diffusion d’images des forces de l’ordre. C’est principalement autour de cet article que les manifestants se sont mobilisés. Journalistes, avocats, observateurs de la société civile, citoyens, représentants politiques… Tous ont appelé au retrait de ce texte sécuritaire pour que les journalistes puissent continuer d’exercer librement leur travail, mais aussi pour que les citoyens puissent eux aussi continuer d’être les témoins actifs des dérives policières. Au-delà de porter atteinte à ces libertés, se niche en effet la crainte que les violences policières soient désormais passées sous silence. Arié Alimi, avocat et membre du bureau national de la Ligue des droits de l’homme, Anthony Caillé, secrétaire national de la CGT Police, et Grégory Marin, journaliste de l’Humanité, décryptent pour vous les enjeux de cette proposition de loi. SUIVEZ L'HUMANITÉTous nos articles : https://www.humanite.fr/Facebook : https://fr-fr.facebook.com/humanite.fr/Twitter : https://twitter.com/humanite_fr#sécuritéglobale #Paris #libertédinformer
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
09:04Sports - Copa America : Vinicius relance le Brésil, la Colombie écrase le Costa Rica
-
09:00Auto - De plus en plus de bornes électriques sur les autoroutes françaises
-
08:43France - Angélica Liddell ouvre un Festival d'Avignon sous tension politique
-
08:25Monde - Bolivie: détention provisoire pour les trois chefs présumés du coup d'Etat manqué
-
08:23Monde - A Doha, la communauté internationale retrouve les talibans, sans les Afghanes