Les exilés ouïghours du Kazakhstan craignent le bras long de l'État policier chinois
par AFP FR
Les musulmans ouïghours qui ont échappé à la répression dans la région chinoise du Xinjiang vivent toujours dans la peur: être à l'étranger, avoir un passeport occidental, ne suffit pas à les protéger d'une campagne mondiale d'intimidation sans merci. Textos et messages audio inquiétants, menaces explicites contre les proches vivant toujours au Xinjiang, le puissant appareil sécuritaire de l'État chinois a le bras long. Pour tenter de réduire les opposants au silence et recruter des informateurs, il touche des démocraties aussi lointaines que les États-Unis ou la Nouvelle-Zélande.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
00:07Sports - Man Utd - Amorim : "On se bat pour le maintien, c'est très clair"
-
30/12Économie - Wall Street conclut son avant-dernière séance de l'année en baisse
-
30/12Monde - Le Kenya arrête des dizaines de manifestants appelant à la fin des enlèvements
-
30/12Monde - Les Etats-Unis se préparent à dire adieu au président Carter
-
30/12Auto - En 2025, les radars sanctionneront trois infractions supplémentaires