Gwenaelle Aubry lit un extrait de son roman «la Folie Elisa»
par liberation
Entre janvier 2015 et janvier 2016, Emy Manifold, Irini Santoni, Sarah Zygalski et Ariane Sile, quatre femmes artistes qui ne se connaissent pas, trouvent refuge dans une même maison, reliées par un graffiti énigmatique. Elles apprennent à se reconstruire et à dépasser les douleurs de leur passé. Gwenaelle Aubry lit un extrait de son roman la Folie Elisa (Mercure de France, 140 pp., 15 €). (Enregistré au Festival des Correspondances de Manosque, le 30 septembre 2018. Photo Francesca Mantovani)
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
23:07Sports - Premier League (J19) : Manchester United coule à Old Trafford, Chelsea se fait surprendre
-
22:57Économie - Wall Street conclut son avant-dernière séance de l'année en baisse
-
22:41Monde - Le Kenya arrête des dizaines de manifestants appelant à la fin des enlèvements
-
22:37Monde - Les Etats-Unis se préparent à dire adieu au président Carter
-
07:00Auto - En 2025, les radars sanctionneront trois infractions supplémentaires