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Florian Philippot : "Si nous n'avons pas de monnaie nationale, nous sommes condamnés à jouer sur d'autres leviers économiques"

par franceinter

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Le vice-président du Front national est l'invité de Questions politiques ce dimanche 18 mars. Plus d'info : https://www.franceinter.fr/emissions/questions-politiques/questions-politiques-19-mars-2017

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Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "Il n'est pas trop tard pour casser la progression du virus (...). La possibilité que la moitié de la population, à la fin de l'épidémie, aura été porteuse du virus, est une hypothèse."
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Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "Il n'y a pas un bout de cerveau d'expert qui ne pense pas que la situation est grave et nécessite les mesures les plus fortes. Il faut faire le maximum, maintenant, tous, beaucoup, et fort."
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Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "Les masques chirurgicaux banals, on ne peut pas dire à tout le monde d'en porter, parce que dans ce cas qui en auraient le plus besoin n'en auraient plus."
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Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "Tous les enfants de soignants pourront être accueillis dans les écoles, dès demain matin. Dans les hôpitaux, on garde toutes nos crèches ouvertes."
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Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "Il vaut mieux confiner partout que mettre des frontières à certains endroits."
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Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "On est au début de la pente. Aujourd'hui, j'ai plus de lits disponibles dans mes réanimations que de lits pris par des patients Covid."
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Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "Si la courbe de l'épidémie suit un mouvement naturel, où les gens continuent leur vie quotidienne, le moment où une large partie de la population sera contaminée arrivera vite et haut."
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Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "Frapper un bon coup par les mesures c'est un bon terme, pour éviter que ce soit le virus qui frappe un grand coup. C'est la consigne de se confiner, d'éviter les rassemblements, de ne pas prendre cela à la légère"
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Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "Sur smartphone, un questionnaire permettra aux patients d'être suivis, avec, de l'autre côté de l'application qui s'appelle Covidom, quelqu'un puisse voir tous les signaux d'alerte."

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