EPR de Flamanville : "L’impact de cette anomalie, nécessite une analyse approfondie"
par LCP
Le réacteur de dernière génération de Flamanville (Manche) accumule les déboires.Prévu pour entrer en service en 2012, il ne le sera qu’en 2018.Son coût, évalué à 3,3 milliards d’euros, grimpe désormais à 9 milliards d’euros.Pire, en avril dernier l’agence de sûreté du nucléaire (ASN) a détecté " une anomalie très sérieuse " qui pourrait causer un risque de fissure de la cuve du réacteur.C’est dans ce contexte que l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) a invité de nombreux spécialistes du nucléaire, jeudi, afin d’éclairer les débats.Le directeur général de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), Jacques Repussard, a expliqué que les avaries détectées sur la calotte et le fond de la cuve "nécessitent encore une analyse approfondie".
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