Crise du logement : peut-on encore construire ?
par humanite-fr
Au niveau national, la construction de logements neufs a retrouvé son niveau d’avant-crise (environ 360 000 logements par an). Et la chute des autorisations au début de l'année 2020, liée au Covid-19, s’est résorbée. Mais ces chiffres globaux cachent de profondes disparités. Et notamment un décrochage inquiétant de la construction dans les zones tendues, là où les besoins sont les plus importants. Sur ces territoires, les autorisations sont en recul de 14% par rapport à 2018. Une tendance à la baisse qui concerne autant le privé que le social, dont le nombre de logements agréés baisse depuis 2016. Les freins sont connus : mauvaise qualité des bâtis, transports en commun surchargés, préoccupations environnementales qui poussent les habitants à refuser de densifier encore certains quartiers… Il est de plus en plus compliqué pour les élus locaux de porter des programmes immobiliers. Et, aux dires de beaucoup, la suppression de la taxe d’habitation réduirait les moyens des communes pour faire face à l'accueil de nouveaux habitants. Comment dépasser ces freins ? Que peuvent faire l’Etat et les élus locaux ? - Ian Brossat, adjoint en charge du Logement à la Mairie de Paris (confirmé)- Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement. (sous réserve)- Eric Constantin, directeur de l'Agence Ile-de-France de la Fondation Abbé Pierre - Delphine Valentin, directrice générale d'Ile-de-France Habitat - Diego Chauvet, journaliste à l'Humanité
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