Au Liban, la crise oblige aussi à se séparer de son animal domestique
par AFP FR
Sa chienne avait deux mois quand Ibrahim al-Dika l'a adoptée. Sans emploi dans un Liban en plein effondrement, c'est le cœur brisé qu'un an plus tard il a dû vendre Lexi pour rembourser un prêt bancaire. Selon des associations, de plus en plus de familles sont confrontées à cette question, alors qu'elles sont frappées de plein fouet par l'inflation.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
05:30Environnement - Déçue, frustrée, pessimiste: une climatologue kényane à la COP29
-
05:25Économie - En Inde aussi, la lente renaissance de l'industrie du disque vinyle
-
05:17Monde - Trump et le MMA, un amour réciproque
-
00:35Sports - XV de France / Dupont : « C'est une grande victoire »
-
16/11Auto - Voici les 7 finalistes au titre de Voiture de l'Année 2025 !