Séisme en Nouvelle-Zélande : le témoignage de notre journaliste sur place
par euronews-fr
Peu après le séisme qui a touché l‘île du Sud, en Nouvelle-Zélande, au beau milieu de la nuit, nous avons joint l’un de nos journalistes sur place, Seamus Kearney. “La donnée importante ici, c’est la profondeur du séisme, parce que cela peut livrer une indication sur le bilan matériel et humain, explique-t-il. Et les experts disent que la profondeur de ce séisme a avoisiné les 15 kilomètres. Donc à l’heure où je vous parle, on évalue encore l‘étendue des dégâts. Nous sommes au milieu de la nuit. La zone où était situé l‘épicentre du séisme est à une vingtaine de kilomètres à l’est d’une ville appelée Hanmer Springs, et c’est un secteur où il y a peu de constructions, une zone rurale, en retrait. Les premières informations ont fait état de lignes électriques coupées, de lignes téléphoniques coupées, les gens ont même dit que le 111, le numéro d’urgence, ne marchait pas. Donc il est très difficile pour les autorités d‘évaluer rapidement le bilan humain et les dégâts. Au cours de la nuit, des personnes ont posté sur le web des photos montrant des dommages dans les zones proches de l‘épicentre, pas seulement à Cheviot, qui est l’une des villes touchées, mais autour. Il semble donc qu’il y ait de gros dégâts matériels, mais nous devrons attendre la levée du jour en Nouvelle-Zélande pour avoir une idée plus précise de ce qui s’est passé.”
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
12:46France - La baisse des émissions de gaz à effet de serre en France montre des signes de ralentissement
-
12:45Sports - Descente de Bormio (H) : Sarrazin a subi une chute sérieuse lors d'un entraînement
-
12:39France - Un nouveau carnet de santé pour les enfants lancé au 1er janvier
-
12:37France - Alimentation : les œufs ont le vent en poupe
-
06:00Auto - Pourquoi les voitures électriques se font-elles plus souvent percuter par l'arrière ?