Liban: le système de répartition des pouvoirs entre communautés a-t-il atteint ses limites ?
par BFMTV
Le Liban, c’est un de la Belgique en surface, 2 fois Paris intra-muros en population, mais pas moins de 18 communautés religieuses. Avec les chrétiens d’un côté, maronites, grec-orthodoxes ou arméniens catholiques ou protestants et les musulmans de l’autre, chiites, sunnites ou druzes. Et là-bas, les communautés se partagent le pouvoir en fonction de quotas confessionnels bien établis. Le Président est un maronite, le Premier ministre un sunnite, le président de la Chambre des députés, un chiite et son vice-président un chrétien orthodoxe.Mais d’où vient exactement cette répartition et en quoi pose-t-elle problème ? Afin de répondre à cette question, on a interrogé Aurélie Daher, enseignante chercheuse à Paris Dauphine et SciencePo Paris et spécialiste du Liban.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
00:59Monde - Yémen: nouvelle frappe sur la capitale Sanaa contrôlée par les rebelles
-
00:53Monde - Pour une question de visas, de premières fissures dans la coalition de Trump
-
27/12Sports - Bilan mi-saison : Désillusion pour Caen, la surprise Dunkerque
-
27/12Monde - Le dernier grand hôpital du nord de Gaza "hors service" après un raid israélien, dénonce l'OMS
-
27/12Auto - Pourquoi les voitures électriques se font-elles plus souvent percuter par l'arrière ?