Les valeurs bancaires plombées par Deutsche Bank
par euronews-fr
La Deutsche Bank continue d’inquiéter les marchés. Les valeurs bancaires chutaient en Europe ce matin sur fond de craintes entourant la solidité de la première banque allemande, menacée d’une amende record aux Etats-Unis pour son rôle dans la crise des subprimes. Le titre Deutsche Bank cédait plus de 4 % à la mi-journée après avoir dévissé de près de 8 % dans les premiers échanges, sous la barre des 10 euros. Une première. Depuis son pic en 2007, l’action Deutsche Bank a perdu environ 90% de sa valeur. Ce qu’il faut retenir du début de séance en cinq points https://t.co/VFTYqv5Lij— Market Live (@MarketLive_BE) 30 septembre 2016 Cette semaine, Berlin a démenti préparer tout plan de sauvetage pour le géant bancaire, qui de son côté a tenu à rassurer sur sa sécurité financière. ‘‘La crise qui touche Deutsche Bank n’est pas similaire à celle de Lehman Brothers car les autorités, les régulateurs et les Etats ont appris qu’une institution comme celle-là ne pouvait pas faire faillite, car elle est essentielle pour le système, explique l’analyste allemand Oliver Roth. Une faillite de la Deutsche Bank ne se produira pas, mais l’institution doit résoudre ses problèmes. Si la banque ne peut pas le faire elle-même, elle doit être aidée.’‘ L’information indiquant qu’une dizaine de fonds spéculatifs avaient commencé à réduire leur exposition à Deutsche Bank a entraîné hier un vent de panique à Wall Street, qui s’est vérifié ce vendredi sur les places boursières européennes. Avec AFP
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
08:55Économie - Hong Kong devient un hub pour le crime financier, alertent des législateurs américains
-
08:53Monde - Affrontements meurtriers entre partisans d'Imran Khan et forces de sécurité à Islamabad
-
08:49Sports - Ligue des champions : Les enjeux de la 5e journée mardi
-
08:47Économie - Huawei lance un smartphone "historique" équipé d'un système d'exploitation maison
-
07:00Auto - Trump président : quels changements pour les marques européennes ?