La voiture autonome de Daimler : reine du salon tech de Las Vegas
par euronews-fr
Les journalistes présents à Las Vegas n’y sont pas pour aller jouer au casino mais bien pour le Consumer Electronic Show : la grand-messe américaine de l‘électronique grand public. Dans les drones, les voitures ou les vêtements intellignets dits “wearables” : étalés sur écran géant ou miniaturisés dans les capteurs des objets connectés : les technologies présentées à Las Vegas transcendent tous les aspects d’une vie toujours plus connectée. Mais apparemment la vedette de ce salon : c’est la voiture. “La voiture autonome va occuper une large place au salon de Las Vegas. Tous les constructeurs importants sont présents ici, affirme Lindsey Turrentine; rédactrice en chef de la revue technologique CNET. Ils sont là pour montrer comment fonctionnent leurs voitures avec votre montre connectée, votre téléphone, comment elles parlent avec des choses comme le service de parking automatique. Vous n’avez juste qu‘à demander à votre voiture de venir vous chercher et elle le fait”. Onze constructeurs automobiles ont installé leur stand au Consumer Electronic Show de Las Vegas, et la reine de ces voitures intelligentes est incontestablement la Merceds F015 de l’allemand Daimler qui présente un prototype capable de rouler sans chauffeur pour laisser les quatre passagers s’asseoir face à face. La voiture a encore un volant mais le siège du conducteur peut pivoter. Les passagers des deux sièges avant peuvent ainsi s’asseoir le dos à la route, faisant face aux passagers arrière.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
06:12Monde - Hong Kong: prison ferme pour 45 militants pro-démocratie à l'issue du plus grand procès sur la sécurité nationale
-
06:04Monde - Australie: mortalité record du corail dans une partie de la Grande Barrière
-
05:00Auto - Un accident sur le chemin du travail ? Qui est responsable ?
-
04:13Économie - Dérapage budgétaire: le Sénat veut identifier les responsables
-
18/11Sports - CM 2026 : Haaland et la Norvège, une anomalie à réparer