Crise migratoire : les limites du règlement Dublin III
par euronews-fr
Si les réfugiés fuient la police pour ne pas se faire enregistrer, ils veulent surtout éviter à tout prix de passer par des centres comme celui de Roske, près de la frontière serbe, sur la route des Balkans. Là où des centaines de personnes sont déjà parquées dans une zone d’accueil. Pour Mark Kekesi, bénévole de l’ONG Migrants Solidarity, “Les réfugiés ont peur qu’on relève leurs empreintes digitales en Hongrie, car ils sont bien conscients qu’une fois leurs empreintes enregistrées, donc légalement, cela donnera l’opportunité à tous les pays européens de les renvoyer en Hongrie”. Le règlement de Dublin établit en effet que c’est un État et un seul parmi les signataires de cette convention qui est responsable d’une demande d’asile. L’objectif est d‘éviter les abus et qu’une même personne fasse plusieurs demandes d’asile. C’est donc l‘État où le demandeur d’asile est enregistré qui va décider du sort de ce dernier, excepté pour les mineurs ou les cas de regroupement familial. Eu
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