"Call of Duty : Advanced Warfaire"
par euronews-fr
La nouvelle version du célèbre jeu vidéo des studio Sledgehammer sort avec dans le rôle du méchant Kevin Spacey qui incarne le mercenaire avide de pouvoir. “Une des choses que j’ai toujours essayé de faire, et que j’adore faire, c’est des choses que je n’ai pas encore faites” explique l’acteur. “Je n’ai jamais été une de ces personnes qui ne sortait pas des sentiers balisés. J’ai toujours aimé un peu de désordre, un peu de chaos.”L’action se déroule en 2054, les soldats du futur son dotés d’exosquelettes surpuissants.Dans le rôle du vilain Kevin Spacey, alias Jonathan Irons est à la tête d’une armée privée et tente par tous les moyens de renverser le régime et prendre le pouvoir. “C‘était une expérience très inhabituelle” explique la star d’American Beauty, “parce que d’habitude quand vous prenez un rôle pour la télévision, un film ou une pièce et bien vous avez un script et vous savez exactement ce que vous allez faire. Ici ce n’est pas ça : On part de l’idée de ce à quoi on veut que le personnage ressemble et puis on écrit des indications, on se demande ce qu’on veut et où on voudrait aller…Je dois dire que c’est la première fois dans ma carrière d’acteur que j’ai accepté quelque chose sans savoir ce que ça allait être.”Avant de se lancer dans l’aventure du jeu vidéo, l’acteur américain, deux fois oscarisé connaissait l’incroyable succès de Call of Duty.La série des Call of Duty a démarré en 2003. Elle s’est déjà vendue à plus de 100 millions d’exemplaires et le jeu a engendré des milliards de dollars de chiffre d’Affaires.La nouvelle version du jeu est sortie cette semaine.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
11:15Économie - Nouveaux records des flux migratoires et de l'emploi des immigrés en 2023, selon l'OCDE
-
11:10Sports - XV de France : Buros titulaire, Jalibert absent... La composition pour affronter la Nouvelle-Zélande
-
11:03Économie - La France veut ouvrir une "troisième voie" pour l'IA
-
11:00Culture - Le sculpteur Antony Gormsley s'inquiète du "contrôle de l'Etat" chinois sur l'art mais reste optimiste
-
07:00Auto - Innovations du futur : Ford et Bentley ont de l'imagination !