Barack Obama : "L'Histoire jugera l'impact énorme" de Fidel Castro
par euronews-fr
Un rapprochement historique entre les Etats-Unis et Cuba voulu par Barack Obama et Raul Castro. En mars 2016, une poignée de main à La Havane témoigne d’une percée diplomatique majeure.Elle n’aurait jamais eu lieu sans le feu vert de Fidel Castro. Castro: les Etats-Unis perdent leur dernier ennemi de la Guerre froide https://t.co/TfCsWtJ63l par NicolasRevise #AFP pic.twitter.com/hArVFCAMB6— Agence France-Presse (afpfr) 26 novembre 2016 Barack Obama estime aujourd’hui que “l’Histoire jugera de l’impact énorme” de Fidel Castro. Il a fait part de son “amitié au peuple cubain” en rappelant avoir “travaillé dur” pour tourner la page de plus d’un demi-siècle de “discorde” et de profonds désaccords politiques”. Read POTUS’s statement on the passing of Fidel Castro: https://t.co/ihVoLdqbRQ pic.twitter.com/sPZfvpeQVB— The White House (WhiteHouse) 26 novembre 2016 D’abord laconique, Donald Trump dénonce “un dictateur brutal qui a opprimé son peuple”; le président élu s’est engagé à “tout” faire pour contribuer à la “liberté” et à la “prospérité” du peuple cubain. Le républicain n’a toutefois pas explicitement critiqué la politique d’ouverture de son prédécesseur démocrate. Fidel Castro is dead!— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 26 novembre 2016 Malgré le dégel, les relations entre les deux pays sont loin d‘être normalisées. L’embargo économique, imposé depuis 1962 par les Américains, est maintenu et le Congrès à majorité républicaine s’oppose résolument à sa levée.Même opposition de la part du sénateur républicain de Floride. Marco Rubio, originaire de Cuba, ne mâche pas ses mots à l’encontre de Fidel Castro qu’il qualifie de “dictateur malfaisant et meurtrier”. President Obama issued a pathetic statement on death of dictator #FidelCastro with no mention of thousands he killed & imprisoned. #Cuba— Marco Rubio (@marcorubio) 26 novembre 2016 Under #FidelCastro Cuba represses nearly all forms of political dissent,” the independent group Human Rights Watch observed in 2008.— Marco Rubio (@marcorubio) 26 novembre 2016 La question cubaine reste un enjeu de politique intérieure américaine, le poids des exilés étant déterminant, en particulier au Congrès.
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