Au Brésil, la lutte de la police environnementale pour sauver des trafiquants les oiseaux protégés
par France 24 FR
Au Brésil, les trafiquants gagneraient près de 2 milliards de dollars par an. Le pays qui a la plus grande biodiversité au monde serait l'un des principaux exportateurs : il déplace illégalement à lui seul environ 38 millions d'animaux sauvages par an, dont 80 % d'oiseaux, et souvent des espèces menacées. Beaucoup sont destinés à des collectionneurs ou à des éleveurs locaux ; car ici, c'est une véritable tradition de posséder un oiseau chez soi. Cet engouement pour les volatiles cache un marché illégal très lucratif. Avec l'aide de la police environnementale, des militants brésiliens cherchent à sauver ces oiseaux en voie de disparition. Mais sous la présidence sortante de Jair Bolsonaro, le budget de la police environnementale a été drastiquement réduit, compliquant leur travail. Reportage de nos correspondants.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
06:02Économie - Dernier tête-à-tête Biden-Xi avant l'ère Trump
-
06:02Économie - Logements à base de champignons à Gaza? Des designers arabes proposent des innovations durables
-
05:58Tech-media - Avec Trump et Musk, un Big Bang pour le programme spatial?
-
15/11Sports - Pro D2 (J11) : Grenoble retrouve son fauteuil
-
15/11Auto - Michelin n'échappe pas à la crise des équipementiers