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par Ouest France - Wibbitz

Taxe sur les plateformes d’écoute de musique en ligne : « Spotify désinvestira en France ». Le gouvernement a annoncé mercredi la mise en place , dès 2024 d’une taxe sur le chiffre d’affaires des plateformes d’écoute de musique en ligne, . visant à financer le Centre national de la musique (CNM), , une instance créée en 2020 pour soutenir la filière musicale française, à l’instar du CNC pour le cinéma. « Cette taxe est une monumentale erreur stratégique qui va à l’encontre des enjeux de souveraineté économique, culturelle et technologique européenne. », Antoine Monin, directeur général de Spotify France. « Elle fait le jeu des GAFA [Google, Apple, Facebook, Amazon], […] car Deezer ou Spotify sont des entreprises européennes et indépendantes. », Antoine Monin, directeur général de Spotify France. « Pour l’instant, nous sommes dans un équilibre financier fragile. », Antoine Monin, directeur général de Spotify France. Selon lui, ses concurrents comme YouTube, Apple , ou Amazon, ont « tout à fait les moyens d’absorber cette taxe ». Le responsable affirme que les plateformes , de musiques en ligne sont déjà beaucoup taxées. « Nous versons 70 % de nos revenus aux ayants droit de la musique, une TVA à 20 %, une taxe sur les services numériques à 3 %, , Antoine Monin, directeur général de Spotify France. une taxe sur les services vidéo à 5 % et maintenant une taxe streaming à 1,75 %. , Antoine Monin, directeur général de Spotify France. Comment voulez-vous que nous puissions opérer sur un marché comme la France ? », Antoine Monin, directeur général de Spotify France. La question d’une taxe streaming divise , depuis plus d’un an la filière musicale française. . Elle a déjà fait l’objet d’un vote positif au Sénat, en novembre, durant l’examen du projet de budget 2024

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