Yann Moix sans filtre : « Je souhaite la mort de la totalité de ma famille »
par LePointActu
L'heure n'est pas au pardon, loin de là… Invité dans L'Heure des pros sur CNews, l'écrivain polémiste a redit tout le mal qu'il pensait des siens dans un débat qui tournait autour des rapports familiaux et notamment de la guerre fratricide chez les Pogba, relayée par les médias. « Moi, je hais la famille, a lancé Yann Moix sans détour. Je considère qu'un repas de famille, c'est déjà le début de l'inceste… » Et d'insister : « Moi, je souhaite la mort physique de la totalité de ma famille, en dehors de ma grand-mère. Ce n'est pas une blague. » Face aux réactions suscitées sur le plateau, l'écrivain a développé son propos : « La famille, c'est une sorte d'asile psychiatrique. Ce n'est pas parce que vous avez le même sang et le même ADN qu'à l'intérieur, il n'y a pas des dysfonctionnements graves, il y a de la haine, de la jalousie […]. Il y a des familles aimantes, il y en a. Mais c'est marrant, parce que dès qu'on pense quelque chose intimement et qu'on ne partage pas un avis avec la population dans son ensemble, ça devient de la provocation… C'est ce que je pense réellement, sans provocation, et au premier degré. »https://www.lepoint.fr/people/yann-moix-sans-filtre-je-souhaite-la-mort-de-la-totalite-de-ma-famille-30-08-2022-2487776_2116.phpSuivez nous sur : - Youtube : https://www.youtube.com/c/lepoint/- Facebook : https://www.facebook.com/lepoint.fr/- Twitter : https://twitter.com/LePoint- Instagram : https://www.instagram.com/lepointfr- www.lepoint.fr
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Vos réactions doivent respecter nos CGU.
-
19:07Politique - Drogue et frais de mandat: Braun-Pivet saisit le déontologue du cas du député LFI Andy Kerbrat
-
19:02Monde - Décès de "la dame aux œillets", symboles de la révolution de 1974 au Portugal
-
19:00Sports - Bleus : Grosse rotation avec Thuram en pointe contre l'Italie ?
-
18:59Économie - Le rachat de La Poste Telecom par Bouygues finalisé
-
07:00Auto - Michelin n'échappe pas à la crise des équipementiers