Une étude de Santé publique France estime que le premier confinement a permis d'éviter 2300 décès liés à la pollution
par BFMTV
Dans le cadre de son suivi global de l’épidémie, Santé publique France a estimé a posteriori sur la mortalité les conséquences des baisses de la pollution de l’air ambiant observées durant ce premier confinement. Les bénéfices d’une moindre exposition à la pollution de l’air ambiant durant le premier confinement peuvent être estimés à 2300 décès évités en lien avec une diminution de l’exposition aux particules, dont les sources sont multiples et qui représentent la pollution de fond. Guillaume Boulanger, responsable "Santé des populations" chez Santé publique France, était l'invité ce mercredi matin de Première édition pour en parler.
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