«Les personnes qui ont fait ces sabotages avaient soit une occasion de travailler pour la SNCF, soit ont été clairement documentés», explique une experte en sécurité ferroviaire

par CNEWS

Elsa Giordanengo, experte en sécurité ferroviaire : «28.000 km de voies, c'est impossible à surveiller. (...) Les personnes qui ont fait ces sabotages avaient soit une occasion de travailler pour la SNCF ou une entreprise extérieure, soit ont été clairement documentés».

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